Condensé du Congrès #2 - Soutenir les langues, limiter la toxicité en ligne et un guide des programmes de droit autochtone

Blog
15 juin 2024
Auteur(s) :
Zach Hazledine; Liam Cepelloti; Serena Kapinga; Teddy Meza

Soutenir la culture - revitaliser les langues autochtones

Lors de la récente causerie Voir Grand, les éminent.e.s panélistes : Janine Elizabeth Metallic, Ryan DeCaire et Mskwaankwad Rice ont souligné les méthodes révolutionnaires employées dans l'enseignement des langues autochtones, ainsi que l'impact crucial de la recherche sur les archives linguistiques. En outre, ils/elles ont mis en évidence l'importance des programmes d'immersion pour adultes dans la promotion de la revitalisation du kanien'kéha, ainsi que les efforts visant à récupérer la résurgence de l'anishinaabemowin.

Metallic, DeCaire et Rice ont discuté de l'avenir des langues autochtones, de leur potentiel, et de la manière de centrer les cultures autochtones dans un contexte colonial.  

Q : Êtes-vous optimiste sur l'avenir de vos langues en général? 

Ryan DeCaire : Cela dépend. Si l'on regarde les chiffres, les langues autochtones au Canada et aux États-Unis perdent des locuteur.trice.s plus rapidement qu'elles n'en créent de nouveaux. Mais grâce au travail remarquable que nous accomplissons aujourd'hui, il est très probable que nos langues se maintiendront à l'avenir. 

Mskwaankwad Rice : Pour ce qui est de savoir si je suis optimiste ou non, je n'en parle pas beaucoup parce que je suis pessimiste depuis longtemps. Depuis 10 ou 12 ans que j'essaie d'apprendre ma langue, il n'y a plus de locuteur.trice.s de ma langue maternelle dans ma famille. Il y en a encore quelques-un.e.s dans ma communauté et je m'efforce de travailler avec eux et de documenter la langue, mais si l'on regarde les chiffres, ils ont chuté.  

Janine Elizabeth Metallic : Nous naissons parfois dans une situation où il est difficile de ne pas être pessimiste. Je pense que la meilleure réponse pour moi est de faire face à la réalité - nous perdons des orateur.trice.s. Dans la communauté où j'ai grandi, j'entendais la langue tout autour de moi. Aujourd'hui, quand j'y retourne, je ne l'entends plus. J'ai appris la langue comme première langue, mais dès l'âge de 6 ans, j'apprenais aussi l'anglais et le français. Dans certaines situations, mes parents ont dû faire ces choix, mais mes grands-parents me disaient : « Peu importe ce que tu fais, où tu vas à l'école, tu dois t'assurer de parler le mi'kmaq à la maison. » C'est ce qui nous a guidés depuis ma naissance.  

RD : Nous espérons que lorsque nous aurons des enfants et qu'ils ou elles auront des enfants, leur situation sera encore meilleure. C'est ce que je veux faire - c'est ce que nous essayons de faire, n'est-ce pas? Quant à l'apprentissage des langues par les non-autochtones, cela dépend de la situation politique. Du point de vue des Mohawks, nous comprenons qu'être Mohawk n'est pas une question de race ou de sang, mais d'affiliation politique au sein des communautés. D'un point de vue linguistique, aucune langue ne dépend de l'endroit où l'on se trouve ou de l'endroit d'où l'on vient. Mais lorsque vous essayez de mettre vos ressources au meilleur endroit pour revitaliser les langues, ce ne sont pas les non-autochtones de la ville qui vont s'en charger. C'est une bonne chose de formuler les choses de cette manière : où sont les Autochtones qui vont se passionner pour cette question, qui vont l'aborder et qui vont être passionné.e.s de l'apprendre? 

MR : Tout le monde veut être optimiste et heureux. Mais d'après mon expérience dans ma communauté d'origine, vous travaillez sur votre langue et les autres le voient et se disent « ok, bien, quelqu'un s'en occupe, on est bien, on n'a pas besoin de le faire. » 

JEM : « Quelqu'un s'en occupe. »  

MR : Oui! Toujours. Cela dit, j'essaie de ne plus être négatif ou pessimiste - je me contente de baisser la tête, de faire le travail que je veux faire et de documenter la langue avec les ancien.ne.s.  

JEM : Il faut une approche très pragmatique. Vous savez, il faut être très réaliste et encourager les locuteur.trice.s et les apprenant.e.s à poursuivre leur travail. Parfois, je dois même me rappeler que je dois parler ma langue.  

Q : Comment vous centrez-vous, votre langue et votre culture dans un espace colonial?  

RD : C'est ce qui se passe dans votre esprit - utilisez-vous la langue tous les jours? Quelles décisions prenez-vous pour utiliser la langue tous les jours?  

JEM : C'est difficile. Travailler avec des étudiant.e.s me donne l'occasion de renforcer la langue. Il se trouve que l'une de mes élèves parle couramment [le mi'kmaq]. Je peux l'encourager à s'intéresser au travail de ces personnes et d'autres qui apprennent la langue et qui sont passé.e.s par là. Je me souviens d'une vidéo de Ryan sur YouTube que ma mère a utilisée dans sa classe communautaire pour montrer aux apprenant.e.s adultes qu'il y a quelqu'un qui a consacré du temps à cette tâche. Parfois, il faut mettre tout le reste de côté pour se concentrer sur la langue - c'est un engagement important, mais qui en vaut la peine.  

MR : Il est difficile de se centrer sur une institution colonialiste - c'est bizarre d'être dans une institution coloniale, à prédominance blanche, en tant qu'Autochtone. Pour moi et dans le cadre de ma carrière universitaire actuelle, il était essentiel de nouer des liens avec d'autres Autochtones. Heureusement, l'institut de linguistique de mon université m'a toujours soutenu, ainsi que mon travail.  

JEM : Nous devons utiliser ce que nous apprenons dans ces institutions comme des outils. Mais ce n'est pas au centre. Nous prenons des outils comme le faisaient nos ancêtres. Nous les adaptons aux situations qui sont prioritaires pour nous. La langue est une priorité pour nous et dans ce cas, nous adoptons ces outils dans le but de maintenir et de pérenniser nos langues et nos cultures.  

Votre guide des programmes de droit autochtone au Canada

Le droit autochtone au Canada est un domaine d'études en plein essor qui vise à élaborer des programmes de cours, de certificats et de diplômes autour des traditions juridiques des cultures autochtones canadiennes. Quel que soit le cours de droit dans lequel vous choisissez de vous ancrer, le fait de développer votre connaissance des pratiques et traditions juridiques autochtones utilisées par les communautés de tout le pays fera de vous un meilleur praticien du droit, culturellement responsable.  

Si vous êtes un.e étudiant.e désireux.euse de développer votre carrière juridique dans le domaine en plein essor du droit autochtone au Canada, il existe de nombreux programmes réputés auxquels vous pouvez participer.  

École de droit Schulich de l'université Dalhousie 

La Schulich School of Law propose un programme de spécialisation en droit autochtone dans le cadre de votre formation juridique. Pour être admissible, vous devez suivre trois cours obligatoires et obtenir trois crédits supplémentaires en suivant l'un des six cours spécifiques au droit autochtone. Pour plus d'information, cliquez ici.

Certificat en droit autochtone de l'Université d'Ottawa  

L'Université d'Ottawa offre un certificat de premier cycle en droit autochtone. Ce programme n'est offert qu'en français.  

Les étudiant.e.s en doctorat ont la possibilité de se spécialiser en droit autochtone dans le cadre de leur programme d'études. Les étudiant.e.s doivent suivre 3 crédits obligatoires et rédiger un mémoire principal. Le programme est proposé dans les deux langues officielles. 

Diplôme de droit autochtone et programme de diplôme conjoint de l'Université de Victoria 

L'Université de Victoria propose un programme de diplôme conjoint en Jurisprudence canadienne et ordres juridiques autochtones (JD/JID), l'un des premiers du genre au Canada. Les diplômé.e.s obtiendront un Juris Doctor et un Juris Indigenarum Doctor à l'issue de leur programme de quatre ans.  

En outre, le National Centre for Indigenous Law de l'Université de Victoria ouvrira ses portes à l'automne 2024, offrant aux étudiant.e.s un espace commun précieux pour l'apprentissage, les rassemblements et les cérémonies.  

École de droit Peter A. Allard de l'UBC Études juridiques autochtones 

À l'UBC, les étudiant.e.s en droit peuvent suivre la spécialisation en études juridiques autochtones. Les étudiants doivent obtenir 14 crédits pour passer la spécialisation. Pour plus d'informations, cliquez ici

Certificat en études juridiques autochtones de l'Université de Toronto 

L'Université de Toronto offre un certificat en études juridiques autochtones aux futur.e.s étudiant.e.s de la Faculté de droit. Les étudiant.e.s doivent suivre un cours obligatoire, rédiger un article, organiser une présentation sur les études autochtones et obtenir 3 crédits à partir d'une liste de cours éligibles. Pour plus d'informations, cliquez ici. 

Un nouveau cadre d'éducation climatique pour la formation des enseignant.e.s

Bienvenue au Congrès en Conversation, une série spéciale présentée par le balado Voir Grand et La Conversation Canada, dans laquelle nous invitons les chercheur.euse.s qui participent au Congrès à partager leurs recherches et leurs expériences dans le contexte de notre reponsabilité commune envers notre société, nos systèmes et notre planète.

Pour cet épisode, notre hôte Nehal El-Hadi, journaliste, rédactrice en chef et productrice à La Conversation Canada est accompagnée par Kshamta Hunter, Responsable de l'apprentissage transformateur et de l'engagement des étudiant.e.s au sein du pôle de durabilityé de l'Université de Colombie-Britannique.

Le changement climatique et ses conséquences sociales ont nécessité de repenser les pédagogies traditionnelles. Les éducateur.trice.s sont confronté.e.s au défi d'engager les apprenant.e.s dans ces conversations, mais aussi de soutenir et d'aborder la gamme d'émotions et de complexités pédagogiques qui impliquent des réalités socio-scientifiques. La pédagogie de la bonté climatique (CKP) tente de synthétiser diverses approches éducatives axées sur le climat, la bonté et la justice en une pédagogie globale destinée à répondre au besoin pressant des éducateur.trice.s et des apprenants de reconceptualiser leur relation les uns avec les autres et avec la planète, tout en offrant un cadre pour intégrer l'éducation climatique dans l'enseignement et l'apprentissage.

Écouter l'épisode complet

Naviguer sur les mers numériques des plurilittératies

Le panel était centré sur les plurilittératies numériques et sur la manière de naviguer dans cette ère de transformation numérique pour les éducateur.trice.s et les étudiant.e.s. Il a exploré les implications des outils numériques dans l'écriture, en se concentrant sur la promotion d'un environnement d'utilisation stratégique, efficiente, efficace, éthique et sûre de ces technologies.

La discussion a abordé plusieurs questions clés : 

  • Comment la technologie numérique redéfinit-elle les pratiques traditionnelles associées à l'acte d'écrire? 
  • Comment documenter et comprendre les apports et les risques potentiels de ces outils? 
  • Comment étudier le sens de la littératie numérique à l'ère des algorithmes et de l'automatisation? 
  • Quelles implications ces outils peuvent-ils avoir pour les éducateur.trice.s et les étudiant.e.s? 

L’écriture dans les espaces numériques 

Il est essentiel de documenter les littératies numériques et les processus qui y sont associés. En comprenant les ressources qui facilitent l'écriture numérique, les éducateur.trice.s peuvent ramener ces connaissances en classe afin d'informer et d'améliorer les pratiques d'enseignement. Il est également utile de savoir ce qui se passe dans les pratiques de littératie numérique dans le monde réel. Cette compréhension peut fournir des leçons qui sont directement applicables dans les contextes éducatifs. 

Il est essentiel de reconnaître les forces et les difficultés propres aux différents outils utilisés par les étudiant.e.s plurilingues. Ces outils peuvent aider à identifier diverses voies permettant aux étudiant.e.s de tirer parti de leurs atouts linguistiques pour composer des textes et relever des défis linguistiques particuliers. À l'ère de la littératie numérique, il ne suffit pas de se concentrer uniquement sur le produit final ou sur les outils eux-mêmes. Tant les éducateur.trice.s et que les étudiant.e.s risquent de passer à côté d'opportunités d'apprentissage précieuses s'ils ne s'engagent pas activement dans la recherche et l'expérimentation de ces technologies puissantes. 

Les outils numériques sont complexes et puissants, et les étudiant.e.s ont besoin d'être guidé.e.s par des expert.e.s en rédaction pour les utiliser efficacement. Les enseignant.e.s doivent créer un environnement dans lequel les étudiant.e.s sont encouragé.e.s à s'interroger et à réfléchir sur leurs processus d'apprentissage, en se concentrant non seulement sur ce qu'ils/elles produisent, mais aussi sur la manière dont ils/elles atteignent leurs résultats. Un enseignement explicite et un travail transparent sur ces processus en classe sont nécessaires pour garantir une utilisation stratégique, efficiente, efficace, éthique et sûre des ressources numériques. 

Pour intégrer efficacement les différents modes et outils, les éducateur.trice.s devraient adopter une séquence pédagogique qui suit les étapes suivantes : 

  1. Écriture initiale sans outils numériques : Commencer par des méthodes d'écriture traditionnelles pour acquérir une compréhension fondamentale des processus d'écriture. 
  2. Révision avec des outils numériques : Introduire les outils numériques pour réviser et améliorer les premières ébauches, en permettant aux étudiant.e.s d'explorer les possibilités de ces technologies. 
  3. Perfectionnement avec des ressources humaines : Utiliser le retour d'information humain et la collaboration pour affiner le travail, en intégrant l'avis des pair.e.s et des enseignant.e.s. 
  4. Présentation : Demandez aux étudiant.e.s de présenter ce qu'ils/elles ont accompli et appris, en discutant des forces et des faiblesses d'une approche intégrée qui combine les méthodes traditionnelles et numériques. 

Stimuler la pensée critique et encourager les comparaisons entre les différents modes et processus opérationnels peut conduire à une plus grande sensibilisation au numérique et à une plurilittératie numérique critique. Les observations métalinguistiques, combinées à la conscience numérique, sont essentielles pour développer une compréhension globale de la manière dont les outils numériques peuvent être utilisés de manière stratégique et éthique dans les pratiques d'écriture et de littératie. Cette approche garantit que les étudiant.e.s ne sont pas seulement compétent.e.s dans l'utilisation des outils numériques, mais qu'ils/elles sont également critiques quant à leur utilisation et conscient.e.s de leurs implications. 

Comment publier votre premier livre savant avec la Subvention du livre savant

Avec plus de 8 000 ouvrages savants publiés depuis 1914, la Subvention du livre savant (anciennement Programme d'aide à l'édition savante (PAES)) constitue un excellent moyen pour les spécialistes et les docteur.e.s en sciences humaines de publier leur premier ouvrage savant.

Ce programme très compétitif offre 180 bourses de publication de 8 000 $ et 5 bourses de traduction de 30 000 $ par an, du 1er avril au 31 mars. Les auteur.e.s ont également la possibilité de demander une subvention en libre accès de 8 000 dollars pour un livre complet et de 2 000 dollars pour un chapitre de livre. Cette année, 18 bourses en Libre Accès sont disponibles (9 pour des livres et 9 pour des chapitres).

Pour publier votre livre dans le cadre de la Subvention du livre savant, vous devez :  

  • Être citoyen.e canadien.ne ou résident.e permanent.e 
  • Avoir 40 000 mots ou plus.
  • Publier en anglais ou en français.
  • Faire appel à un.e éditeur.trice agréé.e figurant sur la liste approuvée par le PAES. 

Les auteur.e.s ne doivent pas nécessairement être affilié.e.s à une université pour pouvoir bénéficier d'une bourse.  

Pour plus d'informations, consultez la page de la Subvention du livre savant.

La Subvention du livre savant est rendue possibles grâce au Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH). 

Combattre les trolls

À l'heure du numérique, les réseaux sociaux et les publications en ligne telles que La Conversation Canada offrent aux chercheur.euse.s et journalistes des occasions inédites pour toucher de nouveaux publics et rendre leurs travaux accessibles. Toutefois, cette augmentation de la visibilité présente un risque important : le harcèlement en ligne. Ce genre d'abus peut entraîner des répercussions sérieuses, à la fois sur le plan personnel et professionnel. 

La Menace Croissante du Harcèlement en Ligne 

Le phénomène du harcèlement en ligne est de plus en plus préoccupant, notamment pour les chercheur.euse.s et les journalistes. D'après une enquête récente, 77,5 % des écrivain.e.s interrogé.e.s ont été confronté.e.s à des commentaires haineux pendant une période de 12 mois. Selon Scott White, rédacteur en chef de La Conversation Canada, depuis janvier 2020, 31 049 commentaires ont été reçus sur La Conversation, dont 4,4 % étaient néfastes. Selon lui, même si seulement 4,4 % des commentaires sont toxiques, les conséquences sont importantes. 

Conséquences du Harcèlement 

Le stress psychologique, l'épuisement et la diminution de leur volonté de s'engager publiquement sont fréquemment ressentis par les victimes de harcèlement en ligne. Selon White, 8 % des participant.e.s ont exprimé leur intention de mettre fin à leur poste de rédacteur.trice pour La Conversation en raison des commentaires négatifs. Selon lui, cette statistique démontre que le harcèlement a pour effet de faire taire des voix importantes dans le domaine académique. 

En outre, le harcèlement va au-delà des échanges en ligne. Selon Victoria O'Meara, le harcèlement peut aussi se manifester dans la vie quotidienne, ce qui accroît la vulnérabilité des victimes. Elle a ajouté que notre but devrait être de donner la priorité au soutien aux personnes touchées plutôt que de se focaliser exclusivement sur la prévention. 

Ressources et Stratégies pour Réduire le Harcèlement  

Afin de faire face à cette menace, il est essentiel d'élaborer des stratégies performantes et d'exploiter les ressources disponibles :  

  • Les institutions doivent offrir des instructions précises et des ressources afin de gérer le harcèlement en ligne. O'Meara a suggéré la création de plans et de protocoles inter-départementaux afin de faciliter le processus de signalement. 
  • Il est essentiel que les chercheur.euse.s et journalistes prennent des mesures pour assurer leur sécurité en ligne, telles que l'utilisation de mots de passe sécurisés et la documentation des incidents de harcèlement. Selon White, il est recommandé aux chercheur.euse.s de noter chaque incident et de bloquer immédiatement les comptes abusifs. 
  • Différentes organisations proposent des ressources et un soutien précieux. Par exemple, Data & Society offre des exemples de bonnes pratiques pour mener des recherches risquées, tandis que l'eSafety Commissioner offre des recommandations pour assurer la sécurité en ligne. Le RGDI Research Group propose un ensemble d'outils destinés aux gestionnaires et aux employeurs. 
  • Les chercheur.euse.s et les journalistes sont sérieusement menacé.e.s par le harcèlement en ligne. En adoptant des approches adéquates et en exploitant les ressources disponibles, il est possible de concevoir un environnement numérique plus sécurisé et plus inclusif. Il n'est pas seulement question de protéger les individus pour combattre les trolls, mais également de préserver l'intégrité et la liberté du discours académique et journalistique. 

En guise de conclusion, on nous a remis une brochure contenant . De multiples sources de soutien et des outils contre le harcèlement en ligne. Une version PDF est accessible au lien ci-dessous.

En savoir plus

Photography courtesy of Shawn Ayyadi Pilon