Alison Hebbs, Directrice des politiques et communications
Fédération des sciences humaines
Une nouvelle idée enflamme ses créateurs, suscite un débat et mène à des découvertes qui font avancer les gens. Les idées nous donnent de l’espoir, inspirent le respect pour nos prédécesseurs et nous aident à améliorer les choses pour ceux qui viendront après nous. Les gens qui ont des idées améliorent leurs collectivités, échangent des connaissances et tissent des liens pour l’avenir. Les idées sont portées par le fait d’être humain et de se soucier du monde.
Les idées nous ont changé, nous. Vous ne nous connaissez peut-être pas, nous (la Fédération des sciences humaines), mais vous savez qui nous représentons : 85 000 étudiants, universitaires et chercheurs des domaines des sciences humaines, des arts et des sciences sociales qui étudient tous les sujets, de la géographie à la religion ou à l’éducation, et créent et échangent des connaissances qui rendent le Canada meilleur. Leurs idées assurent un avenir meilleur aux enfants d’immigrants, guident la révolution numérique et transforment les soins de santé pour bien aider les familles.
Ce travail est essentiel. Nous sommes à une époque déterminante de notre histoire. Les enjeux sont mondiaux et complexes; la concurrence est féroce et croissante; les anciennes méthodes ne suffisent plus. Il n’a jamais été aussi important de comprendre l’humanité, les cultures, les langues et le comportement.
C’est pourquoi, à la lumière d’un récent processus de consultation et de planification stratégique, nous avons fixé d’ambitieux objectifs pour nos communications. Nous voulons établir une nouvelle stratégie audacieuse pour faire connaître les sciences humaines et susciter l’intérêt de la population. Nous nous sommes d’abord examiné de près. Nous avons demandé à des membres, des dirigeants, des partenaires et des membres du personnel ce qui nous rend, nous et ce que nous faisons, importants. Vous savez ce qu’ils ont répondu? Des choses comme « vous abordez les enjeux les plus importants auxquels doivent faire face le Canada et les Canadiens » et « [vous êtes] un moteur de la mobilisation des capacités intellectuelles et politiques du Canada ».
Alors nous voici. Nous restons « la Fédération » et nous avons encore (légalement) un long nom. En fin de compte, le mot « fédération » a été jugé trop à la base de ce que nous sommes pour le laisser tomber. Nous avons cependant convenu de l’importance de définir une image publique qui reflète bien le caractère ambitieux de notre travail.
Pendant presque un an, nous nous sommes inlassablement demandé ce qui pouvait incarner la part de nous qui est créativité, dépassement et changement, et nous avons trouvé : Les idées peuvent...
Voilà notre nouvelle image.